arbre généalogique

Les ancêtres de
Louise-Salanise Hénault-Fresnière

mariée avec 06- Joseph Laurendeau


Histoire des Hénault dits Canada

Le premier ancêtre de Louise-Salanise se nomme Jacques Hénault-Canada. Il n'aura qu'un seul fils nommé Pierre Hénault-Canada. Ce fils Pierre aura 9 enfants dont les 3 premiers se nommeront tous Pierre Hénault-Canada. Afin de démêler les imbroglios possibles, les généalogistes ont séparé les 3 fils Pierre comme suit: le plus âgé, celui qui deviendra 'coureur des bois' sera nommé Pierre Hénault dit Canada, le deuxième fils, fermier, sera nommé Pierre Hénault dit Delorme et le troisième fils, lui aussi fermier, sera nommé Pierre Hénault dit Fresnière. Ce dernier est l'ancêtre de notre Louise-Salanise.

source du texte qui suit : geninfo.org

Jacques Hénault dit Canada

L'ancêtre de cette lignée est pour le moins un personnage énigmatique des plus discrets. En effet, on ne retrouve que peu de traces de celui-ci au travers des registres de l'époque, encore disponibles aujourd'hui.

Jacques Énaud, soldat du Régiment de Carignan-Salière, compagnie de Saurel, sous le pseudonyme de « Pierre Canada », arrive officiellement en Nouvelle-France le 19 août 1665, à bord du navire La Paix. Navire jaugeant 300 tonneaux, sous la gouverne du Capitaine Étienne Guillon Sieur de Laubertière, il appareille le 13 mai 1665 en provenance du port de La Rochelle, avec à son bord quatre compagnies du Régiment de Carignan-Salière, soit : La Colonelle, Contrecoeur, Maximy et Saurel. Le navire La Paix est accompagné de L’Aigle d’Or, un Vaisseau du Roi, « vieux et décrépit », ayant lui aussi à son bord, quatre compagnies, soit : Grandfontaine, La Fredière, La Motte et Salière, lesquelles mettront pied à terre le 18 août 1665, à Québec. Ces deux navires mirent quatorze semaines à faire le voyage, plus du double du temps prévu, en raison des réparations continuelles devant être effectuées à la coque de l’Aigle d’Or, pour lui permettre de naviguer sans couler tellement il est en piètre état …! Ils repartent pour la France, le 19 septembre 1665; toutefois, ironie du sort, seulement L’Aigle d’Or arrivera à bon port, le navire La Paix ayant fait naufrage près de Matane ! Ses passagers seront recueillis par le Saint-Sébastien qui fait le voyage de retour le 14 octobre suivant.Deux jours après leur arrivée, ces huit compagnies furent mises en revue pour inspection par Monsieur de Tracy, en prévision de leur départ imminent pour la vallée du Richelieu. Toutefois, le départ des troupes fut retardé de quelques jours, le clergé catholique ayant constaté la présence de plusieurs Huguenots parmi eux. Ils durent se plier aux exigences de Monseigneur de Laval, qui à cette époque, occupait le deuxième poste le plus important au Conseil Souverain, donc l’influence politique de l’église était telle qu’il était impossible de passer outre aux standards établis par celle-ci, pour qui que ce soit qui mettait pied en sol canadien ! Les soldats Huguenots furent rapidement « catéchisés » et durent abjurés publiquement leur religion et faire profession de foi catholique, pour satisfaire aux exigences du clergé, avant leur départ de Québec; quant aux officiers, tel le Capitaine Alexandre Berthier, ils eurent le privilège de faire le tout en privé, les autorités ayant jugé qu’il n’était pas politiquement correct de rendre public le fait que le commandement des troupes avait été confié à des Huguenots par sa Majesté le Roi …!

Cinq jours plus tard, Monseigneur de Laval et le Marquis de Tracy soulignèrent l’évènement par un immense feu de joie, fait assez ironique étant donné que quelques heures plus tôt, Tracy avait ordonné à la population de Québec, de fournir huit cents cordes de bois pour les troupes qui devaient y passer l’hiver …! Finalement, le 25 août 1665, au lendemain de ce feu de joie, soit une semaine après leur arrivée, Tracy ordonna au Capitaine Pierre de Saurel, de procéder avec sa compagnie en direction de l’embouchure du Richelieu, afin d’y reconstruire le Fort Richelieu, lequel avait été détruit par les Iroquois en 1646. Et ainsi débute les tribulations en Nouvelle-France, de notre ancêtre, Jacques Énaud dit Canada, et de ses compagnons de la compagnie de Saurel. Plusieurs livres ont été écrits sur le sujet, pour ceux qui désirent connaître les évènements et les allées et venues des troupes de 1665 à 1667.

À la suite du licenciement des troupes du Régiment de Carignan-Salière à l’été de 1667, notre ancêtre choisit de demeurer sur nos rives. Tout comme les autres soldats de la compagnie de Saurel, il s’établit tout d’abord sur la Seigneurie du Sieur Pierre de Saurel. Quelques années plus tard, nous le retrouvons installer définitivement dans la Seigneurie de Villemur, propriété du Sieur de Berthier, où il décéda le 2 décembre 1690.

Avant même le licenciement des troupes, Pierre de Saurel, avec l’aide des soldats de sa compagnie s’occupaient à défricher les terres entourant le fort de Richelieu, dont il avait la garde. Après une longue attente, soit le 29 octobre 1672, le Roi lui accorde enfin un domaine de deux lieues et demie de terre de front, situé de chaque côté de la rivière Richelieu, sur deux lieues de profondeur, qui comprend le fort de Richelieu ainsi que les terres avoisinantes sur lesquelles lui et ses soldats sont déjà établis. Cette concession devint la Seigneurie de Saurel qui donna naissance à la ville de Sorel, bien connue aujourd’hui.

Tel que le note l’Abbé A. Couillard Després, de la Société Royale du Canada, dans son Histoire de Sorel de ses origines à nos jours, publié en 1926, ces soldats « sont devenus les premiers sorelois au nombre de trente-trois; selon une liste officielle, ce sont: le sieur Randin, enseigne, le sergent La Fleur, les soldats Champagne, Le Breton, La Pointe, Lafranchise, Dufresne, La France, Grancé, La Violette, Canada, La Fontaine, La Taille, Poitevin, St-André, St-Martin, La Rose, Lavigne, Labonté, L’Espérance, Jean Dominique, Trempe la Crouste, Saluart, Chaudillon, Labarre, du Vemis, La Chesnaye, St-Armand, La Porte, La Jeunesse, La Liberté, le Breton et Olivier. »

Au nombre de ces trente-trois pionniers se retrouve donc « Canada » que l’auteur, pour une raison inconnue, a identifié comme étant Pierre Énaud dit Canada. Il n’est pas le seul; d’autres auteurs, dont l’illustre Drouin ainsi que l’Abbé Florian Aubin, ont commis la même erreur. Par le fait même celle-ci en crée une autre; celle d’identifier Pierre Énaud (fils de Jacques) comme étant le soldat de Carignan-Salière connu sous le nom de soldat « Pierre Canada ». C’est chose impossible puisque Pierre Énaud est né après le départ des troupes de la Nouvelle-France. De plus, nous n’avons retrouvé aucune mention de Jacques Énaud sous un patronyme autre que celui-ci. Tous les documents consultés le cite comme Jacques Énaud dit Canada, époux de Marie Leroux. Il est fort probable que l’erreur provienne de l’usage de son nom de soldat, soit « Pierre Canada ». Quoi qu’il en soit, il s’agit bien ici d’un seul et même homme.

Vers 1668 à St-Pierre de Sorel, Jacques Énaud épousa Marie Leroux, fille du Roi originaire de Rouen, en Normandie. Aucune trace de ce mariage dans les registres de St-Pierre de Sorel car ceux-ci sont incomplets pour cette période.

Au recensement de 1681 à Sorel, Jacques Énaud et son épouse Marie Leroux n’apparaissent pas comme habitants de la seigneurie de Saurel. Toutefois quelques évènements documentés nous confirment leur existence et leur présence dans la région de Sorel.

Un des rares évènements où l’ancêtre fait acte de présence nous confirme son existence en Nouvelle-France, soit le 25 janvier 1683, dans un jugement de Gilles Boyvinet, Lieutenant-Général des Trois-Rivières, "condamnant Jacques Eneau dit Canada à payer au plaintif, Jean Olivier, sept minots de blé".

Le 20 juillet 1684, Pierre Valet dit La France, soldat du Régiment de Carignan et compagnon d’armes de Jacques Énaud, habitant de la seigneurie de Saurel, fait don de tous ses biens « à Pierre Hénaud, fils de Jacques Hénaud et de Marie Le Roux sa femme, père et mère dudit Hénaud son filleul demeurant en la seigneurie du Sieur Berthier, escuyer » (voir minutier du Notaire Claude Maugue ». Cet acte nous confirme qu’à cette date, la famille Énaud habitait effectivement la seigneurie de Villemur, propriété du Sieur Berthier. De plus, il y est stipulé par Pierre Valet dit Lafrance que "outre la dite donation a donné pouvoir audit Hénaud père de ce agir et avoir soin de ses affaires et de tous ses biens et de faire et agir pour luy en tout ce qui concernera ledit donateur jusqu’à ce que la dite donation ayt lieu, déclarant le dit donateur qu’il se prépare à partir pour aller en guerre".

Comme on peut le constater, les documents notariés sont une petite mine d’or d’informations, que plus d’un chercheur néglige, car leur lecture est parfois très difficile, voire parfois quasi impossible. Soit dit en passant, avec un peu d’application et de pratique, et avec l’aide de livres sur la paléographie, on y arrive tant bien que mal. Si vous êtes membre d’une société de généalogie, leurs bénévoles se feront un plaisir de vous aider à y voir plus clair.

Si Jacques Énaud est un personnage des plus discrets, il en est tout autrement de son épouse. La lecture des registres nous permet de penser qu’elle aimait bien la vie sociale du bourg de Sorel et de ses environs. Nous notons sa présence dans divers évènements, dont plusieurs baptêmes et contrats de mariage. Qu’elle y soit invitée dénote en soi une certaine marque de respect et d’appréciation. Heureusement d’ailleurs, puisqu’ils nous permettent de mieux situer ce couple dans leur milieu, tout en confirmant leur existence et leur état matrimonial.

Le 23 octobre 1673, le notaire Jean Baptiste Adhémar, dans sa maison de Sorel, rédige le contrat de mariage de Vincent Moriceau, habitant d’Autray et de Marie Anne Beaumont, demeurant à Sorel; on y note la présence de « Marie Leroux épouse de Jacques Énaud-dit-Canada, en compagnie de messieurs Pierre Salvaye de Tremont, Pierre Vallet et Joseph Lamy ». À St-Pierre de Sorel le 4 octobre 1675, » Marie Le Roux femme de Canada » est citée comme marraine au baptême de Marie Jeanne Marcel, et 2 ans plus tard soit le 22 janvier 1677, marraine à nouveau, cette fois de Jean Marcel, elle est citée comme « Marie Lereau femme de Jacque Hénau ».

Du mariage de Jacques Énaud et Marie Leroux ne survit qu’un seul fils, Pierre, né vers 1669 à Sorel. Son acte de naissance étant manquant, nous avons confirmation, par l’acte de donation de Pierre Valet en date du 20 juillet 1684, de l’existence de ce fils et du fait que Pierre Valet en était le parrain.

Le 3 février 1688 à St-Pierre de Sorel, Jacques eut la joie d’assister au mariage de son unique fils, Pierre, à Marie Anne Ratel, fille aînée de Pierre Ratel dit Dragon, originaire de St-Herbland, diocèse de Rouen en Normandie, et de Marie Lemaire son épouse, originaire de Romorantin, diocèse de Berry en Orléanais. De ce mariage naquirent 9 enfants, soit 3 garçons et 6 filles, dont il sera question à la prochaine génération.

Les faits et gestes de l’ancêtre Jacques Énaud dit Canada sont si peu connus que si ce n’était des quelques actes mentionnés précédemment, on pourrait même douter de son existence. Il termina sa vie à Berthier, où il décéda le 2 décembre 1690, âgé d’environ 45 ans.

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Le prochain texte prend source dans: Wikitree.com

Pierre Hénault/Énault dit Canada (le fils de Jacques).

Le 3 février 1688 à St-Pierre de Sorel, Pierre "ÉNO" prit pour épouse Marie Anne Ratel, fille de Pierre Ratel dit Dragon et Marie Lemaire
Pierre et Marie Anne auront neuf (9) enfants qui atteindront tous l'âge adulte. Ce sont:

1. Pierre [Hénault dit Canada],
né vers 1689 à Montréal; voyageur de métier, il décéda en 1715 suite aux blessures subies lors d'une attaque des Indiens de la Nation des Renards, alors qu'il était en route du Fort Pontchartrain de Détroit vers le Poste de traite de Michilimakinac. Il avait signé conjointement avec Jacques Joly, un contrat d'obligation envers Jean Baptiste Neveu, marchand bourgeois de VilleMarie, le 15 septembre 1714 à Montréal. (source: Minutier de Michel Lepailleur de LaFerté, Notaire). Dans un premier temps, on note un inventaire des biens de "Pierre Héneau dit Canada", exécuté par Jean-Baptiste Forestier, chirurgien au Fort Pontchartrain, Illinois, en date du 2 juin 1715, lequel fût déposé le 14 août suivant au minutier du Notaire J.B. Adhémar (source: acte 17150814P012031).

2. Pierre Joseph [Hénault dit Delorme],
né le 11 septembre 1691 à Montréal et décédé vers 1752 à Berthier, prit pour épouse Marguerite Piette dite Trempe / Lafrenière, le 18 juin 1720 à Pointe-aux-Trembles, Ile de Montréal; neuf (9) enfants naquirent de cette union et atteindront tous l'âge adulte. Leur fils Pierre Hénault dit Delorme né le 9 août 1730 à Berthier-en-Haut et décédé le 18 octobre 1762 à Lavaltrie, épousa Marie Geneviève Charon dite Ducharme le 19 février 1759 à Ste-Geneviève de Berthier; leur fille Marie Antoine Hénault dit Delorme épousa Jean Baptiste Riel dit L'Irlande le 20 janvier 1783 aussi à Ste-Geneviève de Berthier, ces derniers sont les arrière-grands-parents paternels de Louis David Riel qui souleva la rébellion des Métis de l'Ouest Canadien.

3. Pierre [Hénault dit Fresnière],
né le 27 janvier 1694 à Montréal et décédé le 27 octobre 1756 à Berthier-en-Haut, prit pour épouse Marie Geneviève Généreux le 4 février 1720 à Sorel, Qc; 8 enfants naquirent de cette union et comme les précédents, atteindront tous l'âge adulte. (note: ce Pierre est l'ancêtre de notre Louise-Salanise)

4. Marie, connue sous les prénoms de Marguerite et Geneviève,
née le 9 juillet 1696 à Sorel et décédée 8 juillet 1741 à St-François-du-Lac, Qc; "Marie Canada" épouse Charles Boucher le 20 février 1713 à Sorel, Qc. De cette union naquirent huit (8) enfants qui atteindront tous l'âge adulte.

5. Jeanne Hilaire,
née le 9 mai 1698 à Sorel, Qc et décédée 24 juillet 1770 à Berthier-en-Haut, épouse Pierre Emery dit Coderre le 30 décembre 1719 à Berthier-en-Haut; seulement deux (2) enfants naitront de cette union et une seule survivra: Marie née vers 1723 et décédée le 12 mai 1790 à Berthier-en-Haut, laquelle épousera Joseph Casaubon le 9 avril 1742 à Lanoraie, Qc.

6. Thérèse Marie,
née le 10 avril 1700 à Sorel et décédée le 18 février 1785 Les Cèdres, comté de Soulanges, Qc; elle épouse Jean Martin dit St-Jean, soldat de la cie de Senneville, le 8 août 1723 à Montréal, Qc, soit quatre ans après la naissance de leur premier enfant, Marie, née le 27 juin 1719 à Berthier. Onze autres enfants viendront compléter cette belle famille.

7. Marie Anne Charlotte,
née le 10 avril 1702 Berthier-en-Haut, Qc et décédée le 2 février 1782 aussi à Berthier-en-Haut; épouse Jean Baptiste Michel Savignac le 22 novembre 1719 à l'Isle Dupas, paroisse avoisinante de Berthier; neuf (9) verront le jour et sept (7) d'entre eux convoleront en justes noces.

8. Marie Louise,
née vers 1705 et décédée le 16 mars 1731 à St-Ours, comté de Richelieu, Qc; elle épouse Jean Baptiste Boyer dit Lafantaisie, le 23 dévrier 1727 à Berthier en Haut; trois (3) enfants naitront de cette union, mais seulement l'aînée survivra, Marie Louise, née le 29 décembre 1727 à Contrecoeur, laquelle épousera Athanase Doucet le 20 novembre 1752 à Berthier-en-Haut.

9. Marie Geneviève,
née le 24 mai 1709 à Berthier-en-Haut, et décédée le 25 janvier 1740 à Pointe-aux-Trembles, Ile de Montréal, Qc; elle épouse François Robidou le 23 avril 1731 à Montréal, Qc. Cinq enfants naitront de cette union, mais seulement deux (2) survivront et s'établiront dans la région.

Pierre "Hénau Canada", âgé d'environ 40 ans, est décédé et enterré le 5 mai 1711 à Berthier-en-Haut; son épouse Marie Anne Ratel décéda quelques mois plus tard, le 17 octobre 1711 à l'Hôtel-Dieu de Montréal, âgée de 40 ans et 11 mois.

La généalogie de Louise-Salanise Hénault-Fresnière

. Louise-Salanise Hénault-Fresnière
. 06 -Joseph Laurendeau
. m. 22 juillet 1850 à St-Cuthbert .
. Maxime Hénault-Fresnière . Voici les parents de Louise-Salanise Hénault-Fresnière (06 -Joseph Laurendeau).
. En plus de Louise-Salanise, ce couple a aussi eu un François-Alexandre, une Marie, un Clarisse, une Marie-Hermine, un Octave-Honoré, une Marie-Célina, un Louis, un Pierre-Alfred, un Maxime-Léandre et un enfant mort-né
. Catherine Martin-Pelland .
. m. 24 nov 1823 à Berthier .
. Joseph-Ambroise Hénault-Fresnière . Ils sont les grands-parents de Louise-Salanise
. En plus de Maxime, ce couple a eu un Joseph-Ambroise mort-né, une Reine-Dorothée, une Pélagie mort-née, un François, un Joseph-Cyriac-Ignace et un Stanislas.
. Marguerite Desrosiers-Lafresnière
. m. 13 janvier 1777 à Berthier .
. Nicolas-Pierre Énaud-Fresnière . Voici les arrière-grands-parents de Louise-Salanise
. En plus de Joseph-Ambroise, ce couple a eu une Marie-Josèphe, un Pierre, un Nicolas, un Ambroise, une Marie-Reine, un Alexis, une Marie-Geneviève, un François-Hypolitte et une Marie-Véronique.
. Marie-Catherine-Marguerite Piette-Fresnière
. m. 3 janvier 1747 en un lieu indéterminé au Québec. .
. Pierre Énaud dit Fresnière-Canada . En plus de Nicolas-Pierre, ce couple a eu un Pierre, un François, une Marie-Geneviève, un Simon-Pierre, une Marie-Josèphe, une Marie-Magdeleine et une Marie-Anne.
. Marie-Geneviève Généreux .
. m. 4 février 1720, lieu indéterminé au Québec. .
. Pierre Énaud-Canada . En plus de Pierre (Fresnière), ce couple a aussi eu un Pierre (Canada), un Pierre (Delorme), une Marie-Marguerite, une Marie-Jeanne-Hilaire, une Marie-Thérèse, une Marie-Anne-Charlotte, une Marie-Louise et une Marie-Geneviève.
. Marie-Anne Ratelle-Dragon .
. m. 3 février 1688 à Sorel .
. Jacques Énaud dit Pierre Canada . Ce couple immigre au Québec.
. Ils se sont mariés vers la fin 1668 en un lieu indéterminé au Québec. Ils n'ont eu qu'un seul fils prénommé Pierre.
. Marie Ledoux . Fille du Roy

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